Une lecture imagée du monde des garçons avec des mots fleuris, mais aussi de celui de quelques autres femmes-fleurs…
Un blog de Celeos/Κελεός.
Une décyclopédie en mescladís : des amours, des regrets, un goût de langues et la promotion du point-virgule !
Si j'en crois la protubérance de son talon ce jeune alevin a souvent mordu à l'hameçon et été remis dans l'onde ,dieu sait pourquoi!une ligne trop fine ou son teint de pêche?
Ah ! la pêche... Rien de tel pour se détendre...
RépondreSupprimerOui, moi aussi j'aime ce fruit juteux et duveteux.
RépondreSupprimerCe n'est pas pécher, Seigneur !
RépondreSupprimerC'est sans doute pour cette raison que le bât blesse... (Si vous la trouvez, celle-ci, je vous paie un verre -- vous avez ouvert le feu le premier.)
RépondreSupprimerAprès le bât, the bless needs the no to win?
RépondreSupprimerNon, je ne vois pas !
La pèche est un fruit juteux et duveteux, et pourtant, elle met le bât.
RépondreSupprimerJ'ai trop honte.
J'éteins en sortant et je dépose les clefs dans la BAL.
Le cou(p) est tordu. C'est moi qui paye à boire. Gardez les clés : je ne ferme pas la maison.
RépondreSupprimerSi j'en crois la protubérance de son talon ce jeune alevin a souvent mordu à l'hameçon et été remis dans l'onde ,dieu sait pourquoi!une ligne trop fine ou son teint de pêche?
RépondreSupprimerAprès la pêche Melba, c'est la pêche no kill.
RépondreSupprimerLa pêche "no kill" ? Je ne vois pas. C'est ballot.
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